Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
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- poulpe
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
combien de fois j ai vu des mecs a poil faire de l escalade dans les calanques!!!
je vous dis pas la vue, les jambes ecartees et les bijoux qui pendouillent et les mains bien agrippees en haut
je vous dis pas la vue, les jambes ecartees et les bijoux qui pendouillent et les mains bien agrippees en haut
la peche est un dur combat....contre la sieste http://www.flickr.com/photos/enzodemarseille/
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Callianassa83 a écrit :la scène d'horreur
côté gay,
j'ai eu le cas d'un mec à st elme, le genre minet musclé, qui était sur la falaise en slip de bain. puis dès que ses voisins de bronzette se sont barrés, il s'est mis à sortir un espèce de mandrin colossal du slob et à s'astiquer frénétiquement en me fixant ... sueurs froides...
- mika labrax
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Poulpe t'avais qu'a chasser plutot que de les regarder
Il n'y a pas que la chasse dans la vie ... Enfin si !!
- Orca
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Reno... merci pour la rigolade, on s'y croirait
Vos histoires m'en rappellent un paquet d'autres... mais ça serait trop long à raconter ou à "re"-raconter. Situations cocasses , et d'autres franchement plus salas . Mais toujours marantes à se remémorer
P.S: Pour autant, ne faites pas les jeunes vierges effarouchées . Qui n'a jamais fini une soirée au bord de l'eau ou bien une journée d'été à la plage (dans un coin désert, certes) en compagnie de sa douce . Que le premier me jette une Daurade
Vos histoires m'en rappellent un paquet d'autres... mais ça serait trop long à raconter ou à "re"-raconter. Situations cocasses , et d'autres franchement plus salas . Mais toujours marantes à se remémorer
P.S: Pour autant, ne faites pas les jeunes vierges effarouchées . Qui n'a jamais fini une soirée au bord de l'eau ou bien une journée d'été à la plage (dans un coin désert, certes) en compagnie de sa douce . Que le premier me jette une Daurade
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Moi .....
l'ocean mon jardin , les étoiles mon guide et le tiare Tahiti mon emblème
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
On te jettera surement pas des daurade..................... bon,de toute façon tu les rates.................même des énormes et avec un bazooka en mainOrca a écrit :Reno... merci pour la rigolade, on s'y croirait
Vos histoires m'en rappellent un paquet d'autres... mais ça serait trop long à raconter ou à "re"-raconter. Situations cocasses , et d'autres franchement plus salas . Mais toujours marantes à se remémorer
P.S: Pour autant, ne faites pas les jeunes vierges effarouchées . Qui n'a jamais fini une soirée au bord de l'eau ou bien une journée d'été à la plage (dans un coin désert, certes) en compagnie de sa douce . Que le premier me jette une Daurade
............................. oui oui ,évidement que cette histoire va te suivre toute ta vie
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
ya plus qu'a faire un film. comment taire de chasseur sur la vie cotiére secréte
ghost hunter le chasseur fantome,le poisson me fuit terroriser, d'ou la broucouille
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
ou plutot,les secrets de la vie cotiére comment tirez les daurade c'est royal
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Sur la digue du port de Nice dans les tétrapodes on en voyait des vertes et des pas mûres aussi à l'époque
ceux qui ont connu Antonio, un Italien avec qui je pêchais souvent au cap ferrat, se rappellent peut-être de sa capacité à dégoter ce genre de scène.
"PASCOUALLLLLLLLLLLLLLLLLLL!!! VIENS VITE!!!!!!!!!!!!!! Y A UNE CICCIOLINA QUI SUCE le MEC, VIIIIIIIIIIIIIIIIIITE!!!"[/quote]
... par contre pour la digue de Nice, ça na toujours pas changer apparemment...
combien de fois en cherchant des amers ou autres j'en surprend
ceux qui ont connu Antonio, un Italien avec qui je pêchais souvent au cap ferrat, se rappellent peut-être de sa capacité à dégoter ce genre de scène.
"PASCOUALLLLLLLLLLLLLLLLLLL!!! VIENS VITE!!!!!!!!!!!!!! Y A UNE CICCIOLINA QUI SUCE le MEC, VIIIIIIIIIIIIIIIIIITE!!!"[/quote]
... par contre pour la digue de Nice, ça na toujours pas changer apparemment...
combien de fois en cherchant des amers ou autres j'en surprend
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http://serioledu06.skyrock.com/
http://www.nootica.fr/chasse-sous-marine-c-7-1.html
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
j'adore ce genre de récit, alors je vais vous faire partager un des miens.
C'était en 1999, je passais le BTS, un pote à moi avait été malade pendant un certain temps, donc il m'avait demandé de lui passer les cours d'electrotec pour réviser. Il était convenu que je lui apporte les cours chez lui le jeudi mais lui ne serait pas là. Me voilà arrivé devant son portail, je descend de la voiture ouvre le portail et m'avance sur le chemin. En marchant je regardais la maison que je connaissais bien pour y avoir bringué et j'ai repensais à ce soir ou j'avais dégeulé sur un tableau de la mère de mon pote. C'était une femme très classe, gentille, un vrai morceau de pain, elle y tenait certainement à ce tableau mais ne m'en a jamais voulu (je pense).
Je fait le tour de la maison pour rentrer par la porte fenêtre du salon. Au moment ou je passe le seuil de la porte je vois la maman de mon pote qui sort d'un pas décidé par la porte fenêtre de la cuisine, elle est à quelques mètre de moi. Je n'ai pas le temps de dire un mot pour annoncer ma présence que la mère de mon pote relève sa nuisette, elle est maintenant cul nu mais elle a un rouleau de PQ à la main. J'ai a ce moment l'impression de rentrer dans la quatrième dimension, plus aucun mot ne sort. Elle se rapproche de la haie de cyprès, s'accroupie, à ce moment là je décide de rentrer dans le salon. Je me sens seul et je cherche un moyen de fuir. Je regarde par la fenètre du salon, elle est maintenant tournée vers moi et elle fait la grosse commission (les chiottes étaient-elles en pannes?)....merde.... c'est le cas de le dire. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai pensais à un distributeur de glace italienne. Je ne peux pas me barrer par la porte fenêtre du salon, elle me verrait et si elle me reconnais ça risque d'être compliqué à expliquer même si je suis de bonne foi. Je me sent seul. Je la laisse terminé et je décide de faire semblant de rien d'assumer ma présence et de faire comme si de rien n'était. ça y est elle a fini elle revient d'un pas aussi décidé que tout a l'heure, elle rentre dans la cuisine, je l'interpelle par la porte qui communique, elle se tourne et me dit" qu'est ce que vous foutez là", putain elle me reconnais pas en plus, même si je voulais garder mon aplomb, je béguaillais : c'est moi nicolas (j'ai pensais très fort : celui qui a souillé votre tableau de vomis), je viens porter les cours à R..... Elle se radoucie, me claque la bise puis nous échangeons deux banalités. Puis basta je me tire en refaisant le film pour être sur de tout avoir compris. Je n'ai plus regardé de la même manière ni elle ni les machines à glace italienne. Cette femme rayonnait par sa super classe, c'était une sorte de mythe, tout est tombé ce jour là et elle est devenue à mes yeux une simple mite.
C'était en 1999, je passais le BTS, un pote à moi avait été malade pendant un certain temps, donc il m'avait demandé de lui passer les cours d'electrotec pour réviser. Il était convenu que je lui apporte les cours chez lui le jeudi mais lui ne serait pas là. Me voilà arrivé devant son portail, je descend de la voiture ouvre le portail et m'avance sur le chemin. En marchant je regardais la maison que je connaissais bien pour y avoir bringué et j'ai repensais à ce soir ou j'avais dégeulé sur un tableau de la mère de mon pote. C'était une femme très classe, gentille, un vrai morceau de pain, elle y tenait certainement à ce tableau mais ne m'en a jamais voulu (je pense).
Je fait le tour de la maison pour rentrer par la porte fenêtre du salon. Au moment ou je passe le seuil de la porte je vois la maman de mon pote qui sort d'un pas décidé par la porte fenêtre de la cuisine, elle est à quelques mètre de moi. Je n'ai pas le temps de dire un mot pour annoncer ma présence que la mère de mon pote relève sa nuisette, elle est maintenant cul nu mais elle a un rouleau de PQ à la main. J'ai a ce moment l'impression de rentrer dans la quatrième dimension, plus aucun mot ne sort. Elle se rapproche de la haie de cyprès, s'accroupie, à ce moment là je décide de rentrer dans le salon. Je me sens seul et je cherche un moyen de fuir. Je regarde par la fenètre du salon, elle est maintenant tournée vers moi et elle fait la grosse commission (les chiottes étaient-elles en pannes?)....merde.... c'est le cas de le dire. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai pensais à un distributeur de glace italienne. Je ne peux pas me barrer par la porte fenêtre du salon, elle me verrait et si elle me reconnais ça risque d'être compliqué à expliquer même si je suis de bonne foi. Je me sent seul. Je la laisse terminé et je décide de faire semblant de rien d'assumer ma présence et de faire comme si de rien n'était. ça y est elle a fini elle revient d'un pas aussi décidé que tout a l'heure, elle rentre dans la cuisine, je l'interpelle par la porte qui communique, elle se tourne et me dit" qu'est ce que vous foutez là", putain elle me reconnais pas en plus, même si je voulais garder mon aplomb, je béguaillais : c'est moi nicolas (j'ai pensais très fort : celui qui a souillé votre tableau de vomis), je viens porter les cours à R..... Elle se radoucie, me claque la bise puis nous échangeons deux banalités. Puis basta je me tire en refaisant le film pour être sur de tout avoir compris. Je n'ai plus regardé de la même manière ni elle ni les machines à glace italienne. Cette femme rayonnait par sa super classe, c'était une sorte de mythe, tout est tombé ce jour là et elle est devenue à mes yeux une simple mite.
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- roucaou83
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
ya pas rien là
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
alors moi sortie sur le lavandou, au moment de sortir de l'eau au layet, un couple cherchait des crabe pour la soupe du soir , je sors de l'eau et commence à discuter.
la femme , tres joolie avait une mini jupe en jean avec rien dessous.....
et quelque instant plus tard , je nen sais ps comment on en est arrivé là , le mec me proposait un plan à trois;;;)))
que j'ai refusé bien SURRRRRrrrrrrrr!
BIZARRE cette journeé de chasse!!
biz a eux si ils se reconnaissent.
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et quelque instant plus tard , je nen sais ps comment on en est arrivé là , le mec me proposait un plan à trois;;;)))
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Belle histoire vécue Reno
ça me rappelle un petite virée en zozo, du temps où mon 4m20 me jouait des siennes.
On part du port de Banyuls direction l'Espagne qui n'est qu'à quelques miles. On est trois sur le bateau, et sur le coup de midi, on cherche une petite crique pour manger à l'abri de la tram' qui vient de rentrer. On trouve une crique bien abritée, et on casse la croûte à l'ancre, à 50m du bord, en causant pêche. Arrivent deux collègues, compétiteurs locaux, qui nous montrent leur pêche du matin... puis nous font remarquer qu'on a judicieusement choisi l'endroit Nos regards se tournent vers la plage en fond de crique, et il nous faut un moment pour constater qu'il n'y a que des hommes sur la plage... qui posent ou bronzent sur les rochers dans des poses lascives et s'observent les uns les autres.
Les collègues nous vannent en partant, disant que ce n'est pas le moment pour tomber en panne. On rigole franchement, puis quand ils sont déjà hors de portée de voix, jojo se fige et me demande de vérifier que le moteur démarre bien. Pas de raison que ça merde, il a démarré sans souci à chaque coup de lanceur le matin, et il sort du mécano
Un coup de lanceur, rien... deuxième coup de lanceur, re-rien... on s'énerve, on vérifie la poire, le coupe-circuit... rien à faire, le moteur veut pas démarrer. et les collègues sont déjà loin
Petit moment de solitude : on se regarde sur le bateau pour savoir qui aura le privilège d'aller sur la plage demander aux éphèbes un portable, pour appeler un pote qui viendra nous remorquer.
Finalement, l'idée de quêter un portable sur la plage, sans baragouiner un mot de catalan, ou de se taper du stop en combi en plein midi pour rentrer en France ne motive personne. un énième essai nous sortira de là, le moteur daignant enfin démarrer
ça me rappelle un petite virée en zozo, du temps où mon 4m20 me jouait des siennes.
On part du port de Banyuls direction l'Espagne qui n'est qu'à quelques miles. On est trois sur le bateau, et sur le coup de midi, on cherche une petite crique pour manger à l'abri de la tram' qui vient de rentrer. On trouve une crique bien abritée, et on casse la croûte à l'ancre, à 50m du bord, en causant pêche. Arrivent deux collègues, compétiteurs locaux, qui nous montrent leur pêche du matin... puis nous font remarquer qu'on a judicieusement choisi l'endroit Nos regards se tournent vers la plage en fond de crique, et il nous faut un moment pour constater qu'il n'y a que des hommes sur la plage... qui posent ou bronzent sur les rochers dans des poses lascives et s'observent les uns les autres.
Les collègues nous vannent en partant, disant que ce n'est pas le moment pour tomber en panne. On rigole franchement, puis quand ils sont déjà hors de portée de voix, jojo se fige et me demande de vérifier que le moteur démarre bien. Pas de raison que ça merde, il a démarré sans souci à chaque coup de lanceur le matin, et il sort du mécano
Un coup de lanceur, rien... deuxième coup de lanceur, re-rien... on s'énerve, on vérifie la poire, le coupe-circuit... rien à faire, le moteur veut pas démarrer. et les collègues sont déjà loin
Petit moment de solitude : on se regarde sur le bateau pour savoir qui aura le privilège d'aller sur la plage demander aux éphèbes un portable, pour appeler un pote qui viendra nous remorquer.
Finalement, l'idée de quêter un portable sur la plage, sans baragouiner un mot de catalan, ou de se taper du stop en combi en plein midi pour rentrer en France ne motive personne. un énième essai nous sortira de là, le moteur daignant enfin démarrer
Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
j'ai préféré la sortie de janvier ,il faisait froid mais personne dans la criqueju a écrit :Belle histoire vécue Reno
ça me rappelle un petite virée en zozo, du temps où mon 4m20 me jouait des siennes.
On part du port de Banyuls direction l'Espagne qui n'est qu'à quelques miles. On est trois sur le bateau, et sur le coup de midi, on cherche une petite crique pour manger à l'abri de la tram' qui vient de rentrer. On trouve une crique bien abritée, et on casse la croûte à l'ancre, à 50m du bord, en causant pêche. Arrivent deux collègues, compétiteurs locaux, qui nous montrent leur pêche du matin... puis nous font remarquer qu'on a judicieusement choisi l'endroit Nos regards se tournent vers la plage en fond de crique, et il nous faut un moment pour constater qu'il n'y a que des hommes sur la plage... qui posent ou bronzent sur les rochers dans des poses lascives et s'observent les uns les autres.
Les collègues nous vannent en partant, disant que ce n'est pas le moment pour tomber en panne. On rigole franchement, puis quand ils sont déjà hors de portée de voix, jojo se fige et me demande de vérifier que le moteur démarre bien. Pas de raison que ça merde, il a démarré sans souci à chaque coup de lanceur le matin, et il sort du mécano
Un coup de lanceur, rien... deuxième coup de lanceur, re-rien... on s'énerve, on vérifie la poire, le coupe-circuit... rien à faire, le moteur veut pas démarrer. et les collègues sont déjà loin
Petit moment de solitude : on se regarde sur le bateau pour savoir qui aura le privilège d'aller sur la plage demander aux éphèbes un portable, pour appeler un pote qui viendra nous remorquer.
Finalement, l'idée de quêter un portable sur la plage, sans baragouiner un mot de catalan, ou de se taper du stop en combi en plein midi pour rentrer en France ne motive personne. un énième essai nous sortira de là, le moteur daignant enfin démarrer
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
C'est ou le layet ?Arno83 a écrit :alors moi sortie sur le lavandou, au moment de sortir de l'eau au layet
Excuse brocouille 54 : On dit je pêche éco-responsable
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
sacré Layet!!!
un spot au top si vous mettez la barre haute
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
Arno83 a écrit :alors moi sortie sur le lavandou, au moment de sortir de l'eau au layet, un couple cherchait des crabe pour la soupe du soir , je sors de l'eau et commence à discuter.
la femme , tres joolie avait une mini jupe en jean avec rien dessous.....
et quelque instant plus tard , je nen sais ps comment on en est arrivé là , le mec me proposait un plan à trois;;;)))
que j'ai refusé bien SURRRRRrrrrrrrr!
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biz a eux si ils se reconnaissent.
La prochaine fois que tu sors de l' eau..... planque ta pissette
ça peut preter à confusion
- el poulpopo
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Re: Momment de solitue : Mais ou sont passées mes pompes ?
layet
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