T'as pas quelque chose à me diredon pedro a écrit :Petite prise en main du PALito.
Tu peux dire à ta soeur de la faire livrer chez moi la caisse de Nb One ! ! ! !
Et puis si tu voulais du bois t'avais qu'à couper une branche d'olivier...
Modérateur : Modo's
T'as pas quelque chose à me diredon pedro a écrit :Petite prise en main du PALito.
non lionel , y'a méprise MPLe Lion a écrit :T'as pas quelque chose à me diredon pedro a écrit :Petite prise en main du PALito.
Tu peux dire à ta soeur de la faire livrer chez moi la caisse de Nb One ! ! ! !
Et puis si tu voulais du bois t'avais qu'à couper une branche d'olivier...
il a du prendre ma queue pour une cannescal a écrit : c'était le lion, le petit vieux ...?
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Dark Vador a écrit :Le jour se lève ce mardi 3 mars sur une accalmie que veulent bien nous accorder nos cieux dérangés depuis plusieurs mois. Mon maître jedi étant coincé au TAF, ou Traitement Anti -Fouling ( dont il avait bien besoin soit dit en passant, j’ai remarqué que sa combinaison verdissait, dernièrement), je décide de partir seul pour tester toutes les techniques qu’il m’a enseignés.
Direction le site de mes débuts de padawan (si vous ne savez pas ou c’est, relisez les épisodes précédant de la saga), spot réputé pour être fréquenté par une armée innombrable de clones dont mon maître m’a appris à me méfier, les sars.
La sortie débute dans de très bonnes conditions. Une étrange sensation intestinale, muse de ma brocouille, me surprend après cinq minutes passées dans l’eau. Pendant une heure, j’arrive ainsi à mettre en fuite la plupart des observateurs ennemis, à force de marquer mon territoire à grand renfort de canards version…saut de la baleine, et d’indienne version éléphant dans un magasin de porcelaine.
Après une heure de ce régime, convaincu d’avoir vidé la zone de ses assaillants, je fais une pose pour me délester de ma muse qui, il faut le dire, handicape un peu mon apnée et ma mission d’observation. Je repars serein, m’imaginant déjà raconter à mon maître soob comment j’ai géré cette action broucouillistique.
C’est toujours dans ces moments que l’on commet les erreurs fatales. Longeant furtivement la côte, je tombe nez à nez sur une bande de jeunes loups que je réussis heureusement à effrayer.
Malédiction ! Ils sont là ! Ils m’ont suivis, je ne vois que cette explication. Moi qui avais quitté les eaux troubles de la manche, où je ne pouvais plus mettre une palme dans l’eau sans être assaillis à chaque fois par quantité de bars, en laissant ce front à des commandos moins fichés que moi, pour rejoindre des eaux où je me referai un casier vierge, c’était raté! Ils sont bien là ! Ils ont changés de nom pour brouiller les pistes mais je les ai reconnus!
Heureusement, j’ai gardé mes réflexes et j’entame une coulé pour aller me planquer derrière une pierre. Grand bien m’en a pris, c’est à ce moment que je vois passer deux fantassins plus aguerris qui jaugent le kilo cinq. Ouf! Ils sont passés. Je commence à souffler quand un troisième qui s’était planqué de l’autre côté de mon rocher déboule juste en face de moi. Je n’ai pas le choix, je tire et adieux la brocouille d’anthologie. Désolé maître, c’était lui ou moi …
Jusque là, c’est encore pardonnable mais la suite va se révéler catastrophique. Je décide de battre en retraite en sondant plus profond et plus au large pour me poser sur les posidonies. Convaincu que ce terrain ouvert me met à l’abris des mauvaises rencontres, je reprends peu à peu me esprits, mais comme par hasard, je ne pouvais rien faire de mieux que d’atterrir à seulement 10 mètres de là où l’état major avait établit ses quartiers. Et voilà qu’il me fonce dessus, au complet. Je limite les dégâts en tirant sur le premier qui fait dans les trois à quatre kilos. Le reste de la troupe ne demande pas son reste mas je me retrouve quand même avec deux loups sur l’accroche poisson…
Si je ne passe pas au conseil de la M.A.I.L.L.E (Ministère des Affaires Interne de La Logistique Externe, rappel), j’aurai de la chance…
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