http://marine.meteofrance.com/marine/ac ... marinecote
Et ensuite un petit cr de ma sortie de ce matin avant le grand frait annoncé:
Réveil 7 h 30
 ça va c'est très loin des horaires de levé estivales; le vent d'est commence à ce levé; petit déjeuner rapide préparation du matos, attelage du bateau et c'est partie pour 2 h de chasse, pas plus.
 ça va c'est très loin des horaires de levé estivales; le vent d'est commence à ce levé; petit déjeuner rapide préparation du matos, attelage du bateau et c'est partie pour 2 h de chasse, pas plus.Durand le trajet, le vent souffle de plus en plus et dès que je ne suis plus à l'abri des îles la houle déjà formée me fait faire les montagnes russes; inutile de trop s’en larguer je vais rester à proximité des abris les plus proches.
A la mise à l'eau je m'attends à un courant de fou et une visi pourri mais non; il n'y a presque pas de ju et on distingue bien le sommet des remontés. Après cinq six agachon et un seul denti furtif aperçu je change de coin. Et je ne vois rien de plus que sur le précédent, beaucoup de mange mais elle reste tranquille.
Je remonte sur le bateau et en chemin, la houle portée par le vent devient de plus en plus menacente; pas la peine d'insister c'est l'heure de rentrer, de toute façon il n'y a rien. Et me voilà à petite vitesse au milieu des vagues; je serre un peu les fesses car je n'ai pas une pleine confiance au moteur mais en réfléchissant bien qu'est ce que je suis bien: tout seul sur une mer grise, la pluie qui me gifle violament le visage, et au loin notre dame du mai perdu dans les gros nuages bleu électrique
 ça n'a vraiment pas de prix.
 ça n'a vraiment pas de prix.J'arrive enfin à l'abri et du coup je décide de faire un dernier spot; une petite remonté rocheuse tombant sur un herbier de posidonie. Qui c'est ? un gros loup solitaire voulant chasser tranquillement sans se fatiguer en limite de l'herbier. y a pas grand chose finalement; mais la mange semble stressées et fait de petits mouvements de replis de temps en temps. ça ne me coûte rien de tenter un dernier agachon.
Bien posé juste en dessous des bogues, j'attends. Et d'un coup elle explose dans un vacarme assourdissant et je distingue deux ogives arriver à toute vitesse puis ralentir en me voyant, deux pélamides, la première passe trop vite mais j'ai le temps d'aligner la deuxième en pleine tète
 , il est génial ce fusil. Elle démarre violemment se dirigeant vers la surface mais elle est très bien tirée; je la laisse un peu se fatiguer puis la ramène doucement. C'est la première fois que j'en tire une; c'est génial, ça vient super bien à l'agachon et en plus ça tire pas mal sur le moulinet
, il est génial ce fusil. Elle démarre violemment se dirigeant vers la surface mais elle est très bien tirée; je la laisse un peu se fatiguer puis la ramène doucement. C'est la première fois que j'en tire une; c'est génial, ça vient super bien à l'agachon et en plus ça tire pas mal sur le moulinet   
 Merci la mer

Et voilà une fois découpé; les belles tranches seront mangés en familles; et celle près de la queue découpé pour une soirée sushi entre potes
 
 
Uploaded with ImageShack.us



 et presque avec le sourir
 et presque avec le sourir   
  

 
  




 
  

 
   gros gros vent d'est.....
  gros gros vent d'est.....  





 
  

 . Arrivé sur place, j'attaque en voiture le chemin qui descend au parking, je m'arrête dans la pente. En conbrebas le parking est non seulement noyé mais s'est transformé en rivière. De gros pins enracinés dans un sol instable sont à 60° et menacent de s'écrouler. Des monceaux de débris sont emportés sur la plagette, 400m plus bas et l'eau laisse imaginer une visi de 80 cm!
 . Arrivé sur place, j'attaque en voiture le chemin qui descend au parking, je m'arrête dans la pente. En conbrebas le parking est non seulement noyé mais s'est transformé en rivière. De gros pins enracinés dans un sol instable sont à 60° et menacent de s'écrouler. Des monceaux de débris sont emportés sur la plagette, 400m plus bas et l'eau laisse imaginer une visi de 80 cm! direction la Cride. Et là 2 heures de bonheur, une houle de 2m par moment se casse entre les rochers et la balise du large. La mise à l'eau assez protégée côté Ouest est tout à fait faisable. Pendant que je charge le fusil, 2 bancs de gros mulets m'envahissent, ils me frôlent de partout. Au deuxième agachon, avec une visi de 3/4m, c'est un barra de 4kg qui me passe dans le dos. En direction de la balise, j'enchaînerai de multiples descentes dans l'inconnu, pour atterir tantôt dans la posidonie, tantôt dans des petits blocs. Mais à aucun moment, je ne verrai une proie tentante. Dommage, un peu de mange me laissait espérer à chaque descente, une ombre de l'au-delà !
  direction la Cride. Et là 2 heures de bonheur, une houle de 2m par moment se casse entre les rochers et la balise du large. La mise à l'eau assez protégée côté Ouest est tout à fait faisable. Pendant que je charge le fusil, 2 bancs de gros mulets m'envahissent, ils me frôlent de partout. Au deuxième agachon, avec une visi de 3/4m, c'est un barra de 4kg qui me passe dans le dos. En direction de la balise, j'enchaînerai de multiples descentes dans l'inconnu, pour atterir tantôt dans la posidonie, tantôt dans des petits blocs. Mais à aucun moment, je ne verrai une proie tentante. Dommage, un peu de mange me laissait espérer à chaque descente, une ombre de l'au-delà !