Carbontek R-Max 30°
Publié : lun. oct. 03, 2016 12:25 pm
J'ai enfin pu tester mes nouvelles Carbontek R-Max 30° sur chausson Beuchat samedi matin avec Pit.
Pour souvenir et à titre de comparaison, j'avais une paire de Breier carbone avant (un peu trop rigide à mon goût).
Mes premières impressions sur les carbontek sont très positives.
Au premier abord j'avais l'impression de ne rien avoir aux pieds et quand je palmais c'était "trop" facile pour être efficace !
En surface, les 30° d'inclinaison me faisaient sortir les voilures de l'eau, ce qui n'est pas très adapté, mais après 50m on rectifie facilement son palmage.
Le palmage doit se faire de façon plus amples afin d'exploiter au mieux la longueur et l'élasticité de la voilure, et au final on adopte un palmage plus zen et plus économe en oxygène.
Pour les descentes aucun souci majeur, je descendais vite et proprement.
Par contre lorsqu'on est au fond, il ne faut pas s'attendre à décoller d'un coup de façon brutale. On décolle facilement mais encore une fois tout en douceur. 2 ou 3 coups amples sont nécessaires pour prendre une bonne vitesse de remontée et ensuite j'adoptais un palmage tranquille jusqu’à la surface.
Ce qui n’empêche pas des accélérations si besoin car elles restent puissantes.
Mais le gros avantages, c'est que je n'ai pas eu de crampes aux mollets (ce qui était fréquent avec les Breier mais bon je n'ai fait qu'une sortie) et les temps d'agachon était en progression, à voir si cela se confirme ou si c'était Pit qui me faisait de l'effet ...
Pour souvenir et à titre de comparaison, j'avais une paire de Breier carbone avant (un peu trop rigide à mon goût).
Mes premières impressions sur les carbontek sont très positives.
Au premier abord j'avais l'impression de ne rien avoir aux pieds et quand je palmais c'était "trop" facile pour être efficace !
En surface, les 30° d'inclinaison me faisaient sortir les voilures de l'eau, ce qui n'est pas très adapté, mais après 50m on rectifie facilement son palmage.
Le palmage doit se faire de façon plus amples afin d'exploiter au mieux la longueur et l'élasticité de la voilure, et au final on adopte un palmage plus zen et plus économe en oxygène.
Pour les descentes aucun souci majeur, je descendais vite et proprement.
Par contre lorsqu'on est au fond, il ne faut pas s'attendre à décoller d'un coup de façon brutale. On décolle facilement mais encore une fois tout en douceur. 2 ou 3 coups amples sont nécessaires pour prendre une bonne vitesse de remontée et ensuite j'adoptais un palmage tranquille jusqu’à la surface.
Ce qui n’empêche pas des accélérations si besoin car elles restent puissantes.
Mais le gros avantages, c'est que je n'ai pas eu de crampes aux mollets (ce qui était fréquent avec les Breier mais bon je n'ai fait qu'une sortie) et les temps d'agachon était en progression, à voir si cela se confirme ou si c'était Pit qui me faisait de l'effet ...
