


Ça roupille en ce moment...
Sortie pour moi, j’hesite Devant la mer déchaînée sur Marseille. Houle de sud, vague et vendent d’ouest qui se lève

Me voilà parti sur ma planche dans le Bouillon, je saute de la falaise car impossible de descendre par les rochers sans perdre du matos ou massacrer la lisse, voire les deux ( je précise que j’ai un petit port de pêche et une plage abritée, un poil trop loin pour entrer dans l’eau par la. Mais c’est un échappatoire au cas où

Les méduses sont de la partie, l’eau est à 17. J’enchaîne les agachons... je comprend que le passage des poissons est plus avancé sur la mer. Et me décale de la falaise. La Sécurité civile manque de me hacher en morceau (malgres la planche mât, masque et tuba rouge) et je commence enfin à voir du poisson. Des pela qui passent trop loin ou dans mon dos. Quelques barra mais pas les loups que je cherche.
Calé entre deux pierres pour ne pas trop remuer, je regarde passer un enieme barra 10m devant moi, quand son comparse me fait sursauter

Il passe par dessus mon épaule gauche à distance de bras, pour la peine je tend Le Bras et le corrige. Bon j’ai un nouveau fusil dans les mains, un pelengas 100 carbozzi, j’avais quand même envie d’essayer

Malheureusement il n’est pas monté avec un émerillon comme les miens. Et la galère commence. Le poisson est fléché en long. Entre le nylon transparent, les méduses et la houle, impossible de faire ressortir la flèche.
« Je suis maudit »
25min de tricot plu tard, j’ai réussi !
Je me remet sur ma planche et ce qui devait arriver arriva


Un joli Vomis

Je me console avec mes célèbres CroustiBarrat’ et une sauce relèvée

