Fini les étangs, mon jardin m'a manqué
La météo annonce de la pluie mais je suis hyper motivé. Du coup, chasse de 8h à 18h
Mer plate, vent nul, eau à 24°, ext 20° et des orages. Jusqu'à midi 5m de couche blanche en surface puis visi 10m.
J'ai fait moultes zones. Le poisson était bien absent. Seulement 2 coins ont été propices .
Une zone a été magique: Je cale et à peine posé, 3 dentis du kg tournent nerveusement. Un banc de daurades arrivent. Les premières font 1,5 kg mais elles restent à 6/8 m. Elles sont une dizaine. Les dernières passent plus près : 750 g
Je m'éloigne de 30m, agachon: un limon de 5kg passe lui aussi à distance. Je donne un léger coup de palme pour gagner quelques mètres. Il est encore loin mais je le tente et bien sûr je suis trop court même avec le 115
A chaque agachon, j'ai des blanquettes, sars, mulets, marbrés, barra qui tournent. J'attends plus gros en vain...
Autre zone , j'espère un loup dans l'eau un peu sale ( pas comme chez Nico à Palavas, rien à voir
Je suis calé et c'est un tassergal qui arrive. J'ajuste un peu le 115 et il se rapproche tranquillement. Le tir est malgré tout un peu bas mais efficace. Pas de gros départ. Je me méfie de ses machoires tranchantes . Je préfère le doubler : 1,8 kg
Plus loin, même scénario. Pas de loup mais un autre tassergal. Il vient rapidement à 1m50. Quand il repart, je l'ajuste: 1 kg
La famille a envie d'une soupe de poissons. Je prends le 70 et 50 et c'est parti. Je fais 2 vieilles, des labres et 4 rougets ( pour la plancha ).
Et avec tout ça, le temps passe et je me suis régalé : merci la Mer








, 4/5 pelas déboulent depuis le côté de la falaise. Elles sont assez loin malgré mon décollage dans leur direction, et je tente quand même le tir. Effectivement, la distance était limite: la péla reste sur la flèche (alors que d’habitude c’est sur le fil), et en visant la tête, j’arrive a la poinçonner vers la queue. Je commence à avoir l’habitude des tirs pourris donc je gère tranquillement le poisson au moulinet. Le temps de mettre le poisson à l’accroche et de rembobiner, je commence à avoir la nausée. La mer gonfle de plus en plus et je me décide de rentrer après seulement 1h et 10 apnées (dont 2 pour décrocher le plomb de bouée). 20/25 minutes de souffrance plus tard, je rejoins enfin la plage de mise à l’eau après m’être battu contre le courant, les vagues et la
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