Cap Vert
Modérateur : Modo's
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- Inscription : jeu. févr. 14, 2008 7:07 pm
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Cap Vert
Une petite vidéo vite faite de la semaine au Cap Vert : http://www.vimeo.com/1452499
Bilan du séjour (pour ceux qui envisagent de chasser Outre Mer, sans doute indigeste pour les autres !):
POINTS NEGATIFS :
# Divers (santé, voyage, …) :
Je suis parti avec une sinusite carabinée (sous traitement depuis 3 semaines avant le départ) ce qui m’a bien miné le moral et s’est ajouté à la fatigue de la nuit dans l’aéroport (calculer l’heure de départ à choisir pour éviter de perturber le sommeil : il faut être en forme pour cumuler les sorties chasse durant une semaine). Une fois la sinusite à peu près réglée, j’ai enchainé par otite oreille gauche puis otite oreille droite à se taper la tête parterre d’où l’intérêt d’une bonne pharmacie dans ses bagages (merci Romain). On n’oublie pas la crise d’herpès obligatoire en cas de cumul fatigue +soleil et la traditionnelle chiasse à laquelle il est difficile d’échapper … Les escales qui s’éternisent sont aussi à proscrire pour éviter une fatigue supplémentaire : les vols directs existent même s’ils sont plus chers (çà vous évitera de plus que vos bagages restent à Lisbonne à l’aller comme au retour : nous avons reçu nos bagages 3 jours après l’arrivée au Cap Vert, 1 heure avant de prendre l’avion pour la petite île où nous devions principalement chasser. Sans matos, nous n’avons pas pu effectuer les chasses prévues sur l’île d’arrivée et nous avons vu notre moral prendre une sacrée claque en pensant que nous n’allions pas pouvoir chasser du séjour !) . Petite remarque : bien vérifier l’aéroport de départ à Paris et celui de retour à Paris, je me suis rendu compte plus tard qu’on décollait de Roissy et qu’on revenait à Orly … ! ! !). Autre point, ne vous attendez pas à avoir le pouvoir d’achat d’un roi là-bas, les prix sont identiques à ceux de la France depuis quelques années. En ce qui concerne le paysage, il s’améliorera grandement lorsque les capverdiens cesseront de balancer leurs détritus n’importe où, c’est assez étonnant la première fois qu’on assiste à un tel spectacle.
En tout cas, il faut arriver en forme car certaines espèces comme la carpe rouge se tirent plutôt au delà de 30m, et cela est difficile si vous dormez mal (par exemple si votre copain de chambrée ronfle comme un facochère … (prévoir le casque ou pour les plus fortunés la chambre individuelle …)
#Chasse :
La sinusite ne m’a pas complètement empêché de descendre mais il fallait que je compense tout le temps même à l’arrêt au niveau du flasher. Les premier jours j’ai eu du mal à atteindre 15m et le dernier jour, je n’ai effectué que 4 apnées. Quelques journées se sont déroulées sans encombre. Sinon, nous étions 4 dans l’eau et cela a posé problème pour la pêche du thazar puisque nous étions plusieurs à descendre en même temps lorsque nous les voyions de la surface ce qui avait pour conséquence de les faire fuir ou de les rendre plus méfiants : la bonne méthode eut été de faire 2 équipes de 2 espacées de 50m grand minimum avec pour chaque équipe 2 fusils : l’un relié à une bouée pour le premier tir et l’autre équipé d’un moulinet pour doubler le poisson (indispensable étant donnée la probabilité de déchirure du thazard tellement il est puissant). Il faut se mettre d’accord et s’en tenir à l’organisation décidée au départ : le chasseur numéro 1 descendra sur le premier poisson aperçu même si c’est son coéquipier qui l’a vu en premier (de cette façon, il ne se précipitera pas et se présentera tranquillement au niveau du poisson sans crainte de voir surgir un de ses collègues). Puis les rôles sont inversés, que le chasseur numéro 1 ait réussi ou non à tirer le premier poisson aperçu. En tout cas, une règle à laquelle je tiens tout particulièrement pour en avoir subi plusieurs fois la non observation : si un coéquipier est depuis 30 secondes face aux poissons sous l’eau à peaufiner son approche pour assurer un joli tir, ne faites pas l’enc…lé en descendant à fond sur le poisson pour le tirer devant le nez de votre collègue … Sinon, l’eau était sale certains jours. Le trajet en bateau pour se rendre sur les sites étant long (2h environ), il est bon d’emporter un oreiller gonflable pour récupérer une partie de la nuit perdue à cause du facochère ainsi qu’un ciré complet mais léger pour se protéger des embruns qui finissent par vous donner froid. En ce qui concerne les armes, un simple 110 avec 2 sandows m’a semblé suffisant voire préférable aux longs fusils en bois qui peuvent donner l’impression à son détenteur qu’il peut tirer de loin ce qui induit inéxorablement des mauvais tirs synonymes de poissons déchirés annonciateurs de requins. Nous avons ainsi réussi à pourrir toute la zone et à nous priver de chasse au fond nous obligeant à nous cantonner à la chasse dans le bleu (ceci dit, vu notre état de santé pour 3 d’entre nous, cela ne nous a pas tant que çà dérangé de ne pas plonger trop profond …).L’un d’entre nous a eu le mal de mer du premier au dernier jour avec quelques heures de répit, correspondant à une amélioration de ma sinusite, durant lesquelles nous avons pu en nous surveillant agachonner sur des fonds variant entre 28m et 34 m mais les endroits intéressants où se regroupaient les grosses carpes rouges étaient infestés de requins suite aux poissons déchirés des premiers jours. N’étant pas très courageux sur ce sujet, j’ai vite laissé tomber l’affaire et mon coéquipier s’en est retourner se vautrer sur l’avant du bateau, tout pâle. Toujours au niveau du matériel, le câble sciait le thazard sur 30 cm même tiré dans la joue ! Il faut donc réfléchir pour améliorer le montage mais aussi à l’endroit où tirer le poisson (sur les vidéos, on constate que le poisson ne se déchire pas lorsqu’il est tiré dans la queue …). En cas d’utilisation d’une bouée à la place du moulinet, le breakaway Riffe semblait mieux tenir que le Teaksea. Le bout relié au break away ne doit pas risquer de se prendre au bras ou dans les jambes du chasseur (bout très flottant ?), de quel côté du fusil faire sortir le bout de la bouée ? et tout ceci est encore plus compliqué lorsqu’une caméra est fixée au fusil …
# Vidéo :
Lorsque je changeais les accus de la caméra sur le bateau (il fallait donc ouvrir le caisson), les vidéos suivantes étaient gâchées par la présence de buée sur l’objectif : rage ! La position très basse de la caméra par rapport au fusil engendrée par la présence d’un très gros moulinet à côté du caisson a apporté un cadrage non satisfaisant (les poissons venant d’en haut n’apparaissent que très peu). Le fusil était encombrant (caméra + gros moulinet) et il fallait déplacer le fusil par moment pour bien viser le thazar : il aurait donc fallu pouvoir tenir le fusil à 2 mains d’où l’intérêt de laisser une place pour la main gauche entre le moulinet et le caisson. Il faut utiliser un breakaway qui n’envoie pas le fil devant la caméra. Je n’avais pas coupé la veille et l’extinction automatiques ce qui m’a valu de ne pas filmer les meilleures scènes auxquelles j’ai assisté : en effet, lorsque je voyais un thazar de la surface, j’appuyais sur le bouton « on » pensant déclencher l’enregistrement alors que çà ne faisait que sortir la caméra de l’état de veille ! Etant trop crevé le soir pour visionner les vidéos, je ne m’en suis aperçu que plus tard …la haine ! Le mal de mer ayant terrassé le 2ème caméraman, je suis assez déçu du côté de la vidéo. Sans compter que les thazars ressortent très mal à l’écran sur le fond bleu (sans parler de la buée sur l’objectif ni de la perte de qualité sur internet …)
POINTS POSITIFS :
Tout d’abord nous avons rencontré des gens formidables :
- Lino qui s’est occupé parfaitement de nous sur la grande ile de Santiago en attendant notre transfert pour la petite ile de Maio
- Alain qui a rendu possible ce séjour et qui n’a pas hésité à nous proposer son matériel perso lorsque nos bagages étaient perdus. C’est lui qui connaît parfaitement les sites intéressants, point essentiel d’un séjour chasse réussi.
- Wally, notre guide formé par Alain. Un gars vraiment sympa !
- Likis (cocochéri), notre marin qui nous a bien fait rire toute la semaine.
- Et enfin Seb, le restaurateur qui nous a permis de manger notre pêche et de récupérer quelques forces grâce à des préparations dignes des plus grands cuisiniers
Ensuite nous avons pu observer de magnifiques animaux :
Raies Manta, Tortues énormes, Dauphins, Thons, grosses Carpes rouges, Requins, Langouste, …
Et enfin nous avons prélevé quelques specimen dont nous n’avons pas l’habitude :
Rainbow, Badèche, Carpe,Thonine, carangue, Sériole, Thazar
Conclusion :
De nombreux points sont à retravailler pour un prochain voyage mais nous avons globalement passé un agréable séjour grâce à l’investissement des personnes citées ci-dessus : un GRAND MERCI à tous les 5 et au plaisir de vous revoir !
Bilan du séjour (pour ceux qui envisagent de chasser Outre Mer, sans doute indigeste pour les autres !):
POINTS NEGATIFS :
# Divers (santé, voyage, …) :
Je suis parti avec une sinusite carabinée (sous traitement depuis 3 semaines avant le départ) ce qui m’a bien miné le moral et s’est ajouté à la fatigue de la nuit dans l’aéroport (calculer l’heure de départ à choisir pour éviter de perturber le sommeil : il faut être en forme pour cumuler les sorties chasse durant une semaine). Une fois la sinusite à peu près réglée, j’ai enchainé par otite oreille gauche puis otite oreille droite à se taper la tête parterre d’où l’intérêt d’une bonne pharmacie dans ses bagages (merci Romain). On n’oublie pas la crise d’herpès obligatoire en cas de cumul fatigue +soleil et la traditionnelle chiasse à laquelle il est difficile d’échapper … Les escales qui s’éternisent sont aussi à proscrire pour éviter une fatigue supplémentaire : les vols directs existent même s’ils sont plus chers (çà vous évitera de plus que vos bagages restent à Lisbonne à l’aller comme au retour : nous avons reçu nos bagages 3 jours après l’arrivée au Cap Vert, 1 heure avant de prendre l’avion pour la petite île où nous devions principalement chasser. Sans matos, nous n’avons pas pu effectuer les chasses prévues sur l’île d’arrivée et nous avons vu notre moral prendre une sacrée claque en pensant que nous n’allions pas pouvoir chasser du séjour !) . Petite remarque : bien vérifier l’aéroport de départ à Paris et celui de retour à Paris, je me suis rendu compte plus tard qu’on décollait de Roissy et qu’on revenait à Orly … ! ! !). Autre point, ne vous attendez pas à avoir le pouvoir d’achat d’un roi là-bas, les prix sont identiques à ceux de la France depuis quelques années. En ce qui concerne le paysage, il s’améliorera grandement lorsque les capverdiens cesseront de balancer leurs détritus n’importe où, c’est assez étonnant la première fois qu’on assiste à un tel spectacle.
En tout cas, il faut arriver en forme car certaines espèces comme la carpe rouge se tirent plutôt au delà de 30m, et cela est difficile si vous dormez mal (par exemple si votre copain de chambrée ronfle comme un facochère … (prévoir le casque ou pour les plus fortunés la chambre individuelle …)
#Chasse :
La sinusite ne m’a pas complètement empêché de descendre mais il fallait que je compense tout le temps même à l’arrêt au niveau du flasher. Les premier jours j’ai eu du mal à atteindre 15m et le dernier jour, je n’ai effectué que 4 apnées. Quelques journées se sont déroulées sans encombre. Sinon, nous étions 4 dans l’eau et cela a posé problème pour la pêche du thazar puisque nous étions plusieurs à descendre en même temps lorsque nous les voyions de la surface ce qui avait pour conséquence de les faire fuir ou de les rendre plus méfiants : la bonne méthode eut été de faire 2 équipes de 2 espacées de 50m grand minimum avec pour chaque équipe 2 fusils : l’un relié à une bouée pour le premier tir et l’autre équipé d’un moulinet pour doubler le poisson (indispensable étant donnée la probabilité de déchirure du thazard tellement il est puissant). Il faut se mettre d’accord et s’en tenir à l’organisation décidée au départ : le chasseur numéro 1 descendra sur le premier poisson aperçu même si c’est son coéquipier qui l’a vu en premier (de cette façon, il ne se précipitera pas et se présentera tranquillement au niveau du poisson sans crainte de voir surgir un de ses collègues). Puis les rôles sont inversés, que le chasseur numéro 1 ait réussi ou non à tirer le premier poisson aperçu. En tout cas, une règle à laquelle je tiens tout particulièrement pour en avoir subi plusieurs fois la non observation : si un coéquipier est depuis 30 secondes face aux poissons sous l’eau à peaufiner son approche pour assurer un joli tir, ne faites pas l’enc…lé en descendant à fond sur le poisson pour le tirer devant le nez de votre collègue … Sinon, l’eau était sale certains jours. Le trajet en bateau pour se rendre sur les sites étant long (2h environ), il est bon d’emporter un oreiller gonflable pour récupérer une partie de la nuit perdue à cause du facochère ainsi qu’un ciré complet mais léger pour se protéger des embruns qui finissent par vous donner froid. En ce qui concerne les armes, un simple 110 avec 2 sandows m’a semblé suffisant voire préférable aux longs fusils en bois qui peuvent donner l’impression à son détenteur qu’il peut tirer de loin ce qui induit inéxorablement des mauvais tirs synonymes de poissons déchirés annonciateurs de requins. Nous avons ainsi réussi à pourrir toute la zone et à nous priver de chasse au fond nous obligeant à nous cantonner à la chasse dans le bleu (ceci dit, vu notre état de santé pour 3 d’entre nous, cela ne nous a pas tant que çà dérangé de ne pas plonger trop profond …).L’un d’entre nous a eu le mal de mer du premier au dernier jour avec quelques heures de répit, correspondant à une amélioration de ma sinusite, durant lesquelles nous avons pu en nous surveillant agachonner sur des fonds variant entre 28m et 34 m mais les endroits intéressants où se regroupaient les grosses carpes rouges étaient infestés de requins suite aux poissons déchirés des premiers jours. N’étant pas très courageux sur ce sujet, j’ai vite laissé tomber l’affaire et mon coéquipier s’en est retourner se vautrer sur l’avant du bateau, tout pâle. Toujours au niveau du matériel, le câble sciait le thazard sur 30 cm même tiré dans la joue ! Il faut donc réfléchir pour améliorer le montage mais aussi à l’endroit où tirer le poisson (sur les vidéos, on constate que le poisson ne se déchire pas lorsqu’il est tiré dans la queue …). En cas d’utilisation d’une bouée à la place du moulinet, le breakaway Riffe semblait mieux tenir que le Teaksea. Le bout relié au break away ne doit pas risquer de se prendre au bras ou dans les jambes du chasseur (bout très flottant ?), de quel côté du fusil faire sortir le bout de la bouée ? et tout ceci est encore plus compliqué lorsqu’une caméra est fixée au fusil …
# Vidéo :
Lorsque je changeais les accus de la caméra sur le bateau (il fallait donc ouvrir le caisson), les vidéos suivantes étaient gâchées par la présence de buée sur l’objectif : rage ! La position très basse de la caméra par rapport au fusil engendrée par la présence d’un très gros moulinet à côté du caisson a apporté un cadrage non satisfaisant (les poissons venant d’en haut n’apparaissent que très peu). Le fusil était encombrant (caméra + gros moulinet) et il fallait déplacer le fusil par moment pour bien viser le thazar : il aurait donc fallu pouvoir tenir le fusil à 2 mains d’où l’intérêt de laisser une place pour la main gauche entre le moulinet et le caisson. Il faut utiliser un breakaway qui n’envoie pas le fil devant la caméra. Je n’avais pas coupé la veille et l’extinction automatiques ce qui m’a valu de ne pas filmer les meilleures scènes auxquelles j’ai assisté : en effet, lorsque je voyais un thazar de la surface, j’appuyais sur le bouton « on » pensant déclencher l’enregistrement alors que çà ne faisait que sortir la caméra de l’état de veille ! Etant trop crevé le soir pour visionner les vidéos, je ne m’en suis aperçu que plus tard …la haine ! Le mal de mer ayant terrassé le 2ème caméraman, je suis assez déçu du côté de la vidéo. Sans compter que les thazars ressortent très mal à l’écran sur le fond bleu (sans parler de la buée sur l’objectif ni de la perte de qualité sur internet …)
POINTS POSITIFS :
Tout d’abord nous avons rencontré des gens formidables :
- Lino qui s’est occupé parfaitement de nous sur la grande ile de Santiago en attendant notre transfert pour la petite ile de Maio
- Alain qui a rendu possible ce séjour et qui n’a pas hésité à nous proposer son matériel perso lorsque nos bagages étaient perdus. C’est lui qui connaît parfaitement les sites intéressants, point essentiel d’un séjour chasse réussi.
- Wally, notre guide formé par Alain. Un gars vraiment sympa !
- Likis (cocochéri), notre marin qui nous a bien fait rire toute la semaine.
- Et enfin Seb, le restaurateur qui nous a permis de manger notre pêche et de récupérer quelques forces grâce à des préparations dignes des plus grands cuisiniers
Ensuite nous avons pu observer de magnifiques animaux :
Raies Manta, Tortues énormes, Dauphins, Thons, grosses Carpes rouges, Requins, Langouste, …
Et enfin nous avons prélevé quelques specimen dont nous n’avons pas l’habitude :
Rainbow, Badèche, Carpe,Thonine, carangue, Sériole, Thazar
Conclusion :
De nombreux points sont à retravailler pour un prochain voyage mais nous avons globalement passé un agréable séjour grâce à l’investissement des personnes citées ci-dessus : un GRAND MERCI à tous les 5 et au plaisir de vous revoir !
Très belle vidéo ! Malgré toutes les galères (Otitite, manque de sommeil, phacochère, herpès, chiasse ... ) la pêche n'a pas été trop mauvaise quand même !
Et en fait, il n'y a eu que 3 ou 4 grandes sorties, si j'ai bien compris (1 semaine, dont 3 jours sans jours matos e pêche !!)
Très beaux, les wahoo ! ça donne vraiment envie !
Ce Alain que tu cites, c'est Alain HURTEBISE ? Il vous a vraiment emmenés sur des bons coins !
Qu'est ce que tu utilisais comme arbalète ?
Et en fait, il n'y a eu que 3 ou 4 grandes sorties, si j'ai bien compris (1 semaine, dont 3 jours sans jours matos e pêche !!)
Très beaux, les wahoo ! ça donne vraiment envie !
Ce Alain que tu cites, c'est Alain HURTEBISE ? Il vous a vraiment emmenés sur des bons coins !
Qu'est ce que tu utilisais comme arbalète ?
Si tu donnes à quelqu'un un poisson que tu as volé, il mangera une fois.
Si tu lui apprends à voler, il mangera toute sa vie
Philippe GELUCK
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Philippe GELUCK
- martial22
- Flèche d'argent
- Messages : 166
- Inscription : jeu. févr. 14, 2008 7:07 pm
- Localisation : pordic (22)
J'ai utilisé mon fusil de tous les jours en Bretagne : un 110 carbone Omer sur lequel j'ai rajouté un 2ème sandow et un moulinet Maorisub avec 50m de tresse bitumée 2mm + 100m de kevlar 1,5 mm. Par contre, j'ai changé la flèche : une flèche Trygones double ardillon de 7,2 mm de diam (indestructible !) montée avec du câble fin.Chao-Le a écrit : Qu'est ce que tu utilisais comme arbalète ?
Merci de l'info !
Ce 110 Omer carbone, c'est un Excalibur ? Et le tube a une rainure, non ?
J'imagine que tu as mis des sandows plutôt puissants ?? Des 18 mm ??
Mais avec ce montage, tu n'as pas eu de problème de recul ?
Ce 110 Omer carbone, c'est un Excalibur ? Et le tube a une rainure, non ?
J'imagine que tu as mis des sandows plutôt puissants ?? Des 18 mm ??
Mais avec ce montage, tu n'as pas eu de problème de recul ?
Si tu donnes à quelqu'un un poisson que tu as volé, il mangera une fois.
Si tu lui apprends à voler, il mangera toute sa vie
Philippe GELUCK
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- martial22
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Je crois que c'est un excalibur mais je n'ai pas de guide flèche sur le tube.Chao-Le a écrit :Merci de l'info !
Ce 110 Omer carbone, c'est un Excalibur ? Et le tube a une rainure, non ?
J'imagine que tu as mis des sandows plutôt puissants ?? Des 18 mm ??
Mais avec ce montage, tu n'as pas eu de problème de recul ?
Mes sandows je les ai pris sur un fusil 100 (quelle marque ?) dans le magasin car il n'y avait plus de Sandows circulaires à vendre en sachet. Je pense que c'était du 18 mais je ne peux pas le vérifier parceque je les ai donnés au guide.
Aucun problème de recul surtout avec un moulinet énorme et un caisson vidéo : çà alourdit bien ! Je n'ai pas vu la différence avec mon sandow de 16 chargé au 1er cran en Bretagne.