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par mimi » jeu. mars 17, 2011 3:31 pm
ma convalescence prend fin et après un petit tour dans l'eau avec barboteur jeudi dernier , les sensations n'étaient pas trop moches.
après cet épisode météo pourri, je me dis qu'il faut pas louper la levée de mistral, sinon je vais retourner au boulot sans remettre le pied dans l'eau.
donc 9h30 kiné, 10h et des brouettes je me cale au bord et le mistral commence à forcir avec un reste de houle.
Malgré mon grand age je me botte le cul et me fous à l'eau pour une séance de palmage ça sera toujours cela de pris.
premier contact, elle est froide et pas 1 mètre de visi, super pour une reprise.
je progresse tranquille, porté par les vagues, et fais le bord en faisant gaffe aux vagues. des petits agachons pour pas un pei à l'horizon, même pas un mulet.
vu l'état de la mer et celui de mes jambes avec cette p..ain de bouée au cul, je me fixe une pointe à encore 100 mètre et demi tour retour à la voiture.
à 20 mètres du cap qui parait pas mal ou la houle vient frapper, je glisse un agachon dans des blocs sur 5.6 mètres pour ne pas être balancé par la houle.
ventilation ample, une expiration forcée, trois inspirations pulmonaires amples et derniére goulée en levant bien la tête pour remplir au max. Canard parfait avec 12 kilos de plombs, atterrissage en chute libre, stabilisation, accrochage style arapeide à tout ce qui dépasse pour ne plus tanguer et c'est parti pour un agachon interminable de 32.5 seconde.
Face à moi enfin un poisson, un sar de au moins 500gr, il approche tout doucement, c'est bientot bon, malheureusement sans prévenir, arrive sur ma gauche un autre poisson, face à moi à 1 mètre, ce con fait partir le sar, de rage je lui met une flèche qui le prend aux ouies et le met sur le fil.
dégouté je décide de rentrer en pensant à la séance de palmage à contre vent qui m'attend.
il y a des jours comme ça ou l'on ne maitrise rien, tant pis je tenterai ma chance unautre jour.
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chacun tire se qui lui va ,a partir du moment ou s'est déguster c'est bien vrai.
maintenant je ne connais pas encore le gout des dentis !
) , et bien mastoc, fort courant. Un peu de vie, mais conditions trop pourries. au bout de 2h on jette l'éponge. on a croisé 2 chasseurs sur un semi rigide noir, et on s'est fait rouler dans les cailloux pour sortir de la baille.
).
les cons faut les laisser tomber et les ignorer, c'est à ce qui parait la meilleure manière de les énerver.
