Rapport national sur la chasse sous marine
Publié : lun. févr. 01, 2010 5:35 pm
je vous transmet un message que j'ai recu de Sylvain Pioch :
Ci-après, dernier rapport sur les activités de loisirs nautiques, dont la chasse sous marine, réalisée par l’Agence des Aires Marines Protégées. Ce rapport servira de base aux futurs plans de gestion POUR TOUTES LES AIRES MARINES PROTEGEES FRANCAISES
Il est important de le lire et de proposer des réponses aux points soulevés.
Extrait :
« …La pêche sous-marine est une des seules techniques de pêche récréative où chaque cible
est sélectionnée individuellement, par conséquent cette activité n’induit pas de captures
accidentelles.
Une étude réalisée en Australie en 2002 considère que la chasse sous-marine est une
activité écologiquement viable car cette activité seule n’amène pas à une surexploitation
des ressources pour la plupart des espèces, et car cette méthode de pêche est sélective,
restreinte aux eaux de faible profondeur, n’induit pas de prises accessoires, n’utilise pas
d’appât, ne cause pas de dommage sur les habitats, ne nuit pas aux espèces en danger, et
ne produit pas de pollution.
Toutefois, plusieurs autres auteurs déclarent que la pêche sous-marine est un facteur
important pouvant affecter la composition des communautés de poissons ciblés.
Comme les autres activités subaquatiques (plongée sous-marine en scaphandre autonome
ou plongée libre), la pêche sous-marine peut induire des pressions sur les habitats
fréquentés, notamment la dégradation d’organismes fixés liée aux différents contacts avec
le substrat (coups de palmes sur le fond ou les parois, contact des mains). Toutefois,
aucune étude scientifique n’a étudié cette pression en se focalisant sur les pêcheurs sous-marins.
Il est donc difficile de dire si cette pression induit un réel impact sur les habitats. De
plus, les pêcheurs sous-marins fréquentent des sites très disparates (contrairement aux
sites de plongée qui sont généralement bien identifiés et donc très fréquentés), et ne se
déplacent généralement pas en groupe mais plutôt individuellement. La pression exercée
sur les habitats peut donc être considérée comme négligeable. »
A lire en entier, à partir de la page 150 sur :
Tome 1 : Référentiel Sports et loisirs (3,7 Mo)
Ou
http://www.airesmarines.org/documentation/?tp=10&id=86
A diffuser
bonne lecture
Ci-après, dernier rapport sur les activités de loisirs nautiques, dont la chasse sous marine, réalisée par l’Agence des Aires Marines Protégées. Ce rapport servira de base aux futurs plans de gestion POUR TOUTES LES AIRES MARINES PROTEGEES FRANCAISES
Il est important de le lire et de proposer des réponses aux points soulevés.
Extrait :
« …La pêche sous-marine est une des seules techniques de pêche récréative où chaque cible
est sélectionnée individuellement, par conséquent cette activité n’induit pas de captures
accidentelles.
Une étude réalisée en Australie en 2002 considère que la chasse sous-marine est une
activité écologiquement viable car cette activité seule n’amène pas à une surexploitation
des ressources pour la plupart des espèces, et car cette méthode de pêche est sélective,
restreinte aux eaux de faible profondeur, n’induit pas de prises accessoires, n’utilise pas
d’appât, ne cause pas de dommage sur les habitats, ne nuit pas aux espèces en danger, et
ne produit pas de pollution.
Toutefois, plusieurs autres auteurs déclarent que la pêche sous-marine est un facteur
important pouvant affecter la composition des communautés de poissons ciblés.
Comme les autres activités subaquatiques (plongée sous-marine en scaphandre autonome
ou plongée libre), la pêche sous-marine peut induire des pressions sur les habitats
fréquentés, notamment la dégradation d’organismes fixés liée aux différents contacts avec
le substrat (coups de palmes sur le fond ou les parois, contact des mains). Toutefois,
aucune étude scientifique n’a étudié cette pression en se focalisant sur les pêcheurs sous-marins.
Il est donc difficile de dire si cette pression induit un réel impact sur les habitats. De
plus, les pêcheurs sous-marins fréquentent des sites très disparates (contrairement aux
sites de plongée qui sont généralement bien identifiés et donc très fréquentés), et ne se
déplacent généralement pas en groupe mais plutôt individuellement. La pression exercée
sur les habitats peut donc être considérée comme négligeable. »
A lire en entier, à partir de la page 150 sur :
Tome 1 : Référentiel Sports et loisirs (3,7 Mo)
Ou
http://www.airesmarines.org/documentation/?tp=10&id=86
A diffuser
bonne lecture
