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Impresssions malgaches

Publié : dim. déc. 05, 2010 8:21 pm
par seriolekiller
Après plus de 2 ans et demi passés à trimer sans prendre de vacances, le besoin de partir, de couper portables et connexion internet, et de pouvoir être au bord de l’eau, les pieds nus dans le sable devenait omniprésent.

Mais cette fois, pas de trip tout chasse ou tout pêche, le but de voyage étant de partir en famille et de passer du temps ensemble. C’est donc avec Eliott (4 ans) et Louise (2 ans) que nous sommes allés chercher la chaleur tropicale, les odeurs d’Ylang Ylang et de vanille et les eaux bleues.

L’équation soleil + destination faisable avec 2 petits pitchouns + quand même quelques beaux poissons dans les parages nous à conduit à Madagascar, et plus particulièrement Nosy Komba, petite île située en face de Nosy Be.

Vol direct de nuit avec Air Mada, et première bouffée d’air chaud et humide à l’ouverture des portes de l’avion !! On récupère la tonne de bagage, car entre le matos de pêche, de CSM et tout ce qu’il nous faut pour les petits, on dirait des expats qui emménagent pour les 5 prochaines années….

Traversée de l’ile en taxi, puis pirogue jusqu’au lodge. La première partie du séjour sera entièrement consacrée au farniente, visites de villages, parties de foot sur la plage, calins avec les lémuriens et toutes les autres bestioles locales, et bien sur bonnes bouffes et apéro THB (binouze locale qui ne se fait qu’en grande bouteille ☺) /mojitos.

L’île est belle, la température de l’eau oscille en 29 et 31° selon les marées, et la douceur de vivre conjuguée à la gentillesse des locaux permette de se laisser aller et de recharger les batteries.
Le coût de la vie est bas, et permet donc de se faire plaisir pour pas cher : du petit resto sympa à la location d’une pirogue pour aller pique niquer sur un ilot, tout incite à profiter à fond du temps sur place. Difficile de ne pas devenir accro de la sacro sainte sieste de l’après midi, aux heures chaudes, qui prépare à merveille pour l’apéro du soir.



Mais à force de trempouiller dans ces eaux chaudes, l’envie d’aller voir ce qui se passe sous la surface commence à me travailler sérieusement.
Un petit coup de snorkling à Tanikai ai milieu de tortues, des barras et des gros mérous avait déjà fait monter un peu la pression. Mais pour l’instant, respect des consignes : famille d’abord, chasse ensuite.

A mi séjour nous avons bougé de quelques centaines de mètres, au Nosy Komba Lodge. Choix stratégique, car en plus d’être un des plus beau lodge de l’île, il est tenu par Delphine et Antonin, ce dernier étant guide de CSM.
Nos hôtes ont débarqué en terre malgache il y a 7 ans en qualité de stagiaires dans un ferme d’élevage de crevettes, et ne sont jamais repartis en métropole. Quelques aventures et une petite fille de 2 ans plus tard, ils ont construit à flanc de colline, juste au dessus de l’eau, un superbe lodge avec deux bungalows pour les clients. Le peu de clients hébergés à chaque fois leur permet de faire du super personnalisé, avec un vrai programme à la carte.

Dur de ne pas tomber sous le charme de l’endroit : grande terrasse en bois ouverte sur l’eau, grands canapés spécial apéro du soir, le hamac pour la sieste, et Carl pour la cuisine qui nous a régalé pendant tout le séjour.

Antonin est un fou de chasse sous marine, formé à Sète à l’école des frères Cantou, et qui depuis qu’il est à Mada, a pu essayer tous les types de pêches et les poissons de l’île.

Le programme classique est d’attaquer vers 6h30, chasse jusqu’à midi, puis le classique enchaînement : déjeuner / sieste / apéro & dîner qui personnellement me va très bien.

A cette saison la mer est le plus souvent calme le matin, et le thermique se levant en début d’après midi, elle devient nettement plus agitée.

Nous avions organisé 4 sorties ensemble.

Les deux premières ont eu lieu dans son « jardin », les premiers spots n’étant qu’à quelques minutes du lodge. Sympa aussi d’avoir le bateau au pied des bungalows, et le marin qui vous descend toutes les affaires. Aucune autre contrainte que d’avaler un café et une banane avant de s’équiper.

Son bateau est une petite coque locale en résine équipée d’un 15cv et qui convient parfaitement pour la chasse dans la baie. Un petit GPS, une bouteille d’eau et c’est parti….

La plupart des spots sont des secs ou des épaves, tous à quelques minutes les uns des autres. On décide donc du parcours la veille, et il n’y a plus qu’à enchaîner ensuite.
Antonin se comporte vraiment comme un guide, c'est-à-dire que ce n’est pas juste un bon chasseur qui emmène sur ses coins. Il s’adapte au niveau du client et à ce qu’il recherche. Contrairement à ce que certains pourraient croire, pas de recette miracle, et le poisson n’est pas plus facile ici qu’ailleurs. Mais il y a de quoi se faire plaisir, quel que soit le niveau.

Sur ces deux sorties, nous avons essentiellement agachonné entre 15 et 23m. Première surprise, il vaut mieux être habitué aux conditions normandes ou bretonnes qu’à la grande bleue : même si il parait que l’eau peut être cristal, la visi est plutot de 4-5 m, et le courant très présent par endroit.
Heureusement, Antonin excelle dans l’art de positionner le bateau juste au dessus des spots. On se ventile accroché à l’arrière, et à la remontée, il suffit de d’attraper la float line ou la bouée qui traîne 15m derrière. Et là, luxe suprême, pas besoin de faire le moindre effort, c’est le marin qui vous tire jusqu’au bateau.
La présence du marin est un vrai confort, que ce soit pour pêcher en dérive, ou pour lui donner le poisson tiré. Toujours sympa d’avoir quelqu’un qui vous l’enlève de la flèche pendant qu’on recharge, et surtout cela évite de rester trop longtemps avec un poisson qui se débat ou qui saigne… même si nous amis à grandes dents se sont fait super discret pendant tout le séjour.

Une fois la visi et le courant appréhendés, la pêche en elle-même est aussi très différente de ce que je connaissais.
Dès le canard effectué, on palme ou on se laisse couler vers le fond en observant tout autour de soi, un thazard ou une carangue pouvant surgir à tout moment. Arrivé au dessus du fond ou de l’épave, coup d’œil pour voir si un beau mérou, une carpe rouge ou un poisson de roche ne traîne pas dans le coin.
De voir une épave se dessiner petit à petit est un super moment, surtout qu’elle sont le plus souvent envahies par la mange. Quelques belles surprises comme cette loche de plus de 200kg qui m’est partie dans les palmes, et qui m’a fait me sentir tout petit avec mon-cure dent entre les mains. Imaginez un poisson de la taille d’une vache et une queue grosse comme une monopalme !!! Et le « bang » qu’elle fait sous l’eau (comme les mérous chez nous) rappelle un peu les essais de tir dans la rade de toulon.

Ensuite, une fois la coulée effectuée, soit on reste en suspension dans l’eau, soit on se pose sur le sable.
Mais pas d’agachon à la Méditerranée style, où le moindre clignement d’œil fait partir denti & daurade. Ici on peut presque rester debout, le fusil tenu à deux mains, pour pouvoir tirer de tous les côtés. Ca peut venir du haut, du bas ou de n’importe où !!!

Une fois la technique maîtrisée, j’ai pu commencer à me faire plaisir : barra, thazard, carangues en tout genre… La plupart des poissons font entre 5 et 10 kg, avec à chaque fois la possibilité de voir surgir un gros pépère ou une énorme ignobilis.
Et les poissons tropicaux semblent tous dopés au HPO. A poids égal, rien à voir avec nos bestioles de métropole. Une carangue de 8 – 10 kg qui n’est pas séchée peut vous couler 2 ou 3 fois avant de rendre les armes.

Bref, le moulinet siffle souvent, et ça, ça fait vraiment du bien.

Niveau matos, pour ces deux premières journées, j’ai chassé exclusivement avec un Rob Allen 110 et moulinet : parfaitement adapté au niveau puissance et portée, et surtout le bonheur de ces flèches sud’Af qui plient dans tous les sens et restent toujours droites.
Pour le moulinet, 50m de drisse sont largement suffisants pour de type de pêche. Et contrairement à ce que font beaucoup de chasseurs pour gagner en capacité, il est mieux de ne pas prendre un diamètre trop fin. Essayer de freiner un poisson ou le travailler avec un fil trop fin risque de laisser quelques belles entailles, même avec de gants.

Combi obligatoire car beaucoup de petites particules irritantes dans l’eau, et aussi pour se protéger des coraux au fond et du soleil en surface. J’avais une petite 3mm beuchat et je ne mettais pas la cagoule, eau à 30° oblige ☺

Nous avons pas mal cherché la diversité, sans faire de massacre. Sur certaines épaves, on peut facilement faire un carton de mérous, ombrines et autres, mais cela se rapproche plus du tir sur cible. A vaincre sans péril, ….. Autant chercher les pélagiques, et surtout attendre la grosse bebête un fois le dîner assuré.

Le troisième jour, sortie sur un sec plus au large. Cette fois, le trajet en bateau est un peu plus long, mais la mer est lisse, et on arrive vite sur zone.

Découverte de la pêche au flasher… Sur une inspiration de Voyageur, le cubidegrosrougequitacheflasher a encore frappé. Nous avons pêché sur des fonds de 17 à 30m, en se laissant dériver. Le flasher, une dizaine de mètres sous nous, fonctionne comme un vrai aimant, en particulier sur les thazards.

Dès que le poisson vient tourner, il faut couler sur lui. Il s éloigne en général à vitesse régulière, et il faut mettre un petit coup d’accélérateur pour le rattraper et lâcher le tir. L’eau étant plus claire et les distances souvent trompeuses, j’ai troqué le RA pour le teak sea AZI 120. Plus de puissance, plus de portée, mais un peu moins maniable. Pour cette pêche, je pense que l’idéal serait un carbone 130 ou 140.

Si les barras et les carangues tiennent plutôt bien à la flèche, les thazards se déchirent très facilement, et il est impératif soit de sécher le poisson soit de le tirer derrière les ouies, dans la partie épaisse du poisson.
Antonin, en ayant tiré un dans le haut du dos, et qui ne tenait plus que par un poil de c.., nous a fait une remontée de poisson le fil tenu à 2 doigts, en le laissant repartir à chaque démarrage. Un modèle du genre…..

Quelques agachons au fond en espérant croiser un belle igno, mais pas de pièces record pour cette fois.

On finit la sortie avec deux belles carangues sur une remontée, puis retour à la casa. Déjeuner, sieste, et debrief pour la sortie du lendemain.

Pour cette dernière, on tente les secs plus au large. Anto y a chassé quelques fois, et y a croiser entre autres poissons thons dents de chien et espadon voilier.
A cette occasion, on loue une coque un peu plus grande, et équipée d’un 140cv. La durée de la sortie étant limitée, autant passer le plus de temps possible sous l’eau et non dessus.

La mer est belle, et presque lisse comme un miroir. La visi n’est toujours pas au top, mais largement suffisante pour se faire plaisir.
Même principe qu’hier, mais à l’échelle au dessus. On se fait larguer sur des fonds allant de 50 à 70m, puis dérive au dessus du secs jusqu’à le dépasser et tenter encore quelques coulées.

Le palpitant bat un peu plus vite dès qu’on se balance dans le bleu. Le flasher entre en action, mais d’apparition de monstres. Une belle manta monte me saluer, et une tortue s’en va tranquillement une fois les deux homos neoprènus identifiés.

On attaque alors les agachons sur le sec. Anto ouvre le bal avec un beau thazard, mais il n’y a pas foule.
On arrive sur quelques patates où la vie est plus présente. Je me fais une réflexion amusante : nous sommes dans un paradis pour Polynésiens !!! Tous les poissons qui ont la cote culinaire dans le Pacifique sont ici royalement ignorés : umé, parapeu, kuripo, muu (nasons, licornes, platax, daurades tropicales, etc….). Si j’ai la chance de revenir dans ces eaux, il faudra quand même que lâche quelques flèches pour essayer si ils ont le même goût…

La matinée se poursuit avec deux carangues bleues, un peu de thazard, et une petite ignobilis. Pour en avoir déjà secoué quelques unes à la canne, je suis toujours bluffé par la puissance que ces poissons développent.

Après avoir manqué une truite de corail, Anto voit une grosse mémère de 30kg lui passer sous les palmes. Visite unique puisque malgré nos agachons nous ne le reverrons pas.

Il clos le bal avec un magnifique aprion qu’il tirera au terme d’un agachon interminable, suspendu à quelques mètres au dessus du fond.

La sortie touche à sa fin, et les sinus commencent à manifester leur mécontentement. Nous n’avons pas croisé les monstres espérés, mais encore un beau moment passé sous l’eau.
Les dizaines de kilos de poissons en tout genre vu à chaque descente font qu’on est toujours en alerte, en attente de la vision magique du gros pélagique sorti de nulle part, et qui arrive droit sur nous, sûr de son fait.

Retour au bercail, rinçage du matos. Ce n’est pas bon, ça sent la fin, et faire les valises dans ce sens n’est jamais aussi excitant qu’à l’allée…

Le jour du départ, les cannes n’étant pas encore pliées, on se décide pour une dernière petite sortie traîne devant la maison, histoire de tuer le temps. Une dernière touche, et Eliott fait le combat de sa vie, calé entre mes jambes, avec un beau barra qui nous gratifie de plusieurs belles chandelles. Lui aussi aura eu son poisson, et en parle encore 1 semaine après.

Dur retour à la réalité avec le boulot et surtout le thermomètre en chute libre. Débarqués à l’aéroport tout bronzés, du sable encore plein les poches et de voir la neige qui tombe de l’autre côté des vitres, on se sent complètement paumés ☺

Madagascar est une superbe destination, des gens sympas, et un vrai potentiel pour la CSM. Je repars avec un petit goût d’inachevé, frustré de ne pas avoir pu croiser la route d’un TDC, d’une belle ignobilis ou d’un poisson à rostre.
Mais pas de déception, car c’était avant tout un voyage famille. Ne reste plus maintenant qu’à mobiliser un ou deux potes, et monter une vraie expédition…

Antonin est un super guide, et se comporte comme tel. Il n’est pas là pour faire une démonstration des ses talents, mais pour s’adapter au client et lui faire vivre les émotions recherchés.

Je pense que le programme idéal sera de chasser quelques jours avec lui dans la baie, suivi d’un petit bivouac aux Mitsio pour passer dans la catégorie supérieure, et finir par une ou deux sorties bluewater avec Craig, pour chercher de tout gros. En priant pour que le beau temps soit de la partie (clin d’œil aux Dino production qui avaient un programme similaire mais ont joué de malchance avec les conditions climatiques)….

Ne reste plus qu’à être patient, racheter une ou deux flèches, et remplir les moulinets en attendant de repartir dans les eaux malgaches.

Pour les photos, un lien sur les souvenirs de ce beau voyage. Il n’y a pas que de la CSM, mais c’est un petit aperçu de la vie là-bas.

http://www.facebook.com/album.php?aid=3 ... 9b0f20716c

Re: Impresssions malgaches

Publié : dim. déc. 05, 2010 8:38 pm
par bastien83
M A G N I F I Q U E ...... :cupid: :cupid:


Super partage de ces fabuleuses vacances, je m'y suis cru pendant un instant avant de réaliser que j'avais des grosses chaussettes au pied et un gilet sur les épaules :dry:

Très jolies photos pour imager (et finir de nous achever ....) de beau CR.

Super merci seriollekiller pour cette parenthèse ensoleillée que tu nous offres :itsgood:

Re: Impresssions malgaches

Publié : dim. déc. 05, 2010 8:51 pm
par -flo-
joli récit et superbe photos !! :itsgood:

Re: Impresssions malgaches

Publié : dim. déc. 05, 2010 11:04 pm
par rako
Bon j'aime beaucoup et puis c'est mieux raconté par un vahiny...

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 7:13 am
par bibou
:itsgood:

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 9:23 am
par rouget
merci pour ce p'tit coin de paradis
les photos sont vraiment chouettes :itsgood:

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 9:26 am
par Le Lion
merci

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 12:48 pm
par Chao-Le
seriolekiller a écrit :Le jour du départ, les cannes n’étant pas encore pliées, on se décide pour une dernière petite sortie traîne devant la maison, histoire de tuer le temps. Une dernière touche, et Eliott fait le combat de sa vie, calé entre mes jambes, avec un beau barra qui nous gratifie de plusieurs belles chandelles. Lui aussi aura eu son poisson, et en parle encore 1 semaine après.
Quelle chance il a, Eliott, d'avoir partagé ces moments avec son papa !
C'est un album photo de jours heureux ... Et le souvenir restera !

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 1:04 pm
par loup66
superbe CR :itsgood: :itsgood:

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 1:12 pm
par babass
Merci de nous avoir fait partager :master: :master: :master:

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 1:13 pm
par ZREKA
C'est superbe ces endroit :D si je vais la bas je reviens plus !! :D

Re: Impresssions malgaches

Publié : lun. déc. 06, 2010 8:27 pm
par babass
je viens de regarder les photos elles sont magnifiques :itsgood: :itsgood: :itsgood:
petit clein d'oeil au ballon de foot :mrgreen:

Re: Impresssions malgaches

Publié : mar. déc. 07, 2010 1:47 pm
par Didier_Alpes_Maritimes
rako a écrit :Bon j'aime beaucoup et puis c'est mieux raconté par un vahiny...

Toi aussi tu pourrais nous raconter Mada :siffle: :siffle: :wink:

Re: Impresssions malgaches

Publié : mar. déc. 07, 2010 3:11 pm
par lucho74
:cupid: :cupid: :cupid: ça donne vraiment envie !!!

Re: Impresssions malgaches

Publié : mar. déc. 07, 2010 5:38 pm
par le relais
Superbe tof :wink:

Re: Impresssions malgaches

Publié : jeu. déc. 09, 2010 2:15 pm
par bélouga
Pour du partage , c'est du partage!
Il ne manquait que le caisson :coolman: . Un album de photos comme on aimerait en faire plus souvent.
En espérant te faire un récit aussi réussi et imagé dans quelques temps :itsgood: .

Re: Impresssions malgaches

Publié : jeu. déc. 09, 2010 3:07 pm
par FRED 83
merci pour la magnifique ballade que tu nous offre
:itsgood:

Re: Impresssions malgaches

Publié : jeu. déc. 09, 2010 9:30 pm
par rako
Didier_Alpes_Maritimes a écrit :
rako a écrit :Bon j'aime beaucoup et puis c'est mieux raconté par un vahiny...

Toi aussi tu pourrais nous raconter Mada :siffle: :siffle: :wink:

J'ai déjà raconté quelques voyages dans une autre ère temps (on avait des combi peau de requin avec une bande jaune sur le coté, des masques super compensator, des Jets finn et des des pneumatiques Jaguar...)
J'ai même donner des adresses à ceux qui me l'ont demandé...
On peut recommencer... :wink: :wink: :wink:

Re: Impresssions malgaches

Publié : ven. déc. 10, 2010 8:57 am
par Didier_Alpes_Maritimes
Depuis, tu as fait "quelques" aller-retour de plus entre ici et Mada, donc tu as certainement du neuf à raconter :wink:

Re: Impresssions malgaches

Publié : sam. déc. 11, 2010 6:00 pm
par DENTI83
Comme toujours Nico t'as pas ton pareil pour raconter tes experiences de voyage !!
Ca fait envie, je m'y serais bien vu la bas!
Vivement que je trouve un peu de temps qu'on se fasse un truc un de ces quatre. :wink: